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K-Hot** et la danse orientale

10 mai 2013

Stage sur les danses du Maghreb avec Sailyne le 22 juin 2013 à Vaulx-en-Velin (69)

Sailyne organise un stage sur les danses du Maghreb le samedi 22 juin 2013 de 10h à 12h.
 

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Tarif : 20€
Tous niveaux
Pour plus de renseignements je vous laisse aller voir son blog !


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10 mai 2013

Scène Ouverte & Spontanée de Danse Orientale à Lyon le vendredi 10 mai 2013 à la Croix-Rousse (69)

Voici une excellente nouvelle pour nous !!! 

L’espace Arts Dreams (sur les pentes de la Croix-Rousse) propose une rencontre festive de danse orientale.

Cet évènement aura même lieu 2 vendredis par mois ! Non non vous ne rêvez pas !!!

Ces soirées sont ouvertes à tous les groupes de danse orientale ou personnes souhaitant danser pour le plaisir ou tout simplement regarder.
L'objectif étant de permettre des rencontres festives entre des groupes de danse orientale de Lyon et sa région, de montrer leurs chorégraphies (issues de différents pays du Maghreb ou Moyen-Orient), de partager leurs musiques ou de danser tout simplement pour le plaisir tout en mettant en pratique les techniques apprises en cours.
Le principe : toute personne ou tout groupe ayant envie de présenter une danse apporte sa musique ou sélection de musiques sur une clé USB. Il est préférable pour les groupes de réserver à l’avance afin que le lieu puisse s’organiser.
L’entrée est à 5 euros, participation servant à soutenir le lieu, espace multiculturel sur les pentes de la Croix-Rousse, favorisant l’éclosion de nombreux talents et de projets interculturels.


Réservation : Espace multiculturel Arts Dreams
15 bis rue Imbert Colomès 69001 Lyon 
04 72 07 80 30

C'est vraiment quelque chose qu'il faut soutenir, je compte sur vous les danseuses !!!!! Et si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour moi !!!! 

Notez bien les 2 prochaines dates : Vendredi 10 et 31 Mai de 20h à 23h

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9 mai 2013

Stage de Danse Orientale Découverte avec Farida Kadri le 2 juin 2013 (Paris 19e)

C'est un stage plutôt exceptionnel qui va se dérouler dans le 19e arrondissement de Paris, et c'est pourquoi à titre exceptionnel j'en fait la promotion (regardez bien l'affiche c'est juste un truc de malade !!!!)

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Farida Kadri incarne l'esprit de fusion arabo-occidentale et propose de vous initier à un cours de danse orientale libérateur, tonifiant, qui réveille la féminité par excellence.

Danseuse, chanteuse et musicienne, avec un long parcours de danse traditionnelle et de danse orientale et forte d'expériences scéniques, Farida vous accompagnera sur le chemin de cette danse ancestrale.

Qui est Farida ?

Farida commence à vivre la musique par l’expression corporelle à travers les danses orientales et traditionnelles du Maghreb.
Elle se fait connaitre dans plusieurs spectacles, notamment « Le Cabaret Sauvage » et « Les Nomades Rageurs ». Elle a aussi dansé pour Nouri Koufi, Idir, FFF, Aerosmith, à l’Olympia, au Bataclan, à l’Elysée Montmartre…
Pour en savoir plus : http://www.myspace.com/faraka

Comment se déroule le stage ?

Echauffement et Assouplissement de préparation à la danse orientale, basé sur des mouvements de Tai-chi, Yoga et Pilates.
Viennent ensuite les exercices de renforcement musculaire, d'équilibre, d'ouvertures de hanches, des abdominaux, de mobilité du dos et d'étirements. 
Puis, viennent la décomposition rythmée et quelques mouvements de la danse du voile. Nous aborderons également les mouvements chaloupés des hanches.
Une fois, ces mouvements acquis le travail sera axé sur sur la synchronisation avec la musique notamment sur « Tarkassim Tabla » (percussion égyptienne), d’où découlera une chorégraphie. 
Pour finir le cours en douceur, l’accent sera mis sur la relation entre le corps et l’esprit. 
Ce stage vous apportera une réelle concentration sur vous-même, et une nouvelle compréhension de votre corps par la danse et la musique (Mahgreb, Indienne, Egyptienne, Electro-orientale).

NB : prévoir des chaussons de danse, un foulard et un voile.
_________________________________________________________________

Prix 40 €, 70€ en duo (inscription recommandée)
Inscriptions et renseignement auprès de Slavica Marmakovic : Tel : 06 44 88 57 05 / email : s.marmakovic@gmail.com

Lieu du stage : Espace B, 16 rue Barbanègre 75019 PARIS

Allez-y les yeux fermés !


 

7 mai 2013

J'ai interviewé pour vous.... Yaël Zarca

Cette semaine j'ai interviewé pour vous celle que l'on ne présente plus : Yaël Zarca. Un interview sans langue de bois, plein de sincérité et d'émotions... Un régal !

 

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Depuis combien d’années pratiques-tu la danse orientale ?

J’ai commencé à prendre des cours de danse orientale en 2001 ; au début c’était vraiment comme un simple loisir ; quelques années plus tard, c’était devenu une passion tellement forte que j’ai voulu en faire mon métier.

Comment as-tu connu la DO ?

J’ai toujours dansé dans ma famille depuis toute petite, j’aimais ça et tout le monde me trouvait très douée. A l’adolescence, c’est grâce à ma baby-sitter que j’ai découvert qu’il existait des cours, et je me suis inscrite. Je me suis immédiatement rendu compte que ce que je faisais « spontanément » et en improvisant n’était pas de la « vraie » danse orientale. Lorsque je me suis retrouvée dans un cours avec des instructions, de la rigueur et de la discipline, j’ai d’abord été complètement terrorisée.

Au bout de combien d’années d’expérience as-tu commencé à enseigner ?

J’ai commencé à enseigner au bout de 5 ans je crois. Trop tôt sûrement, car je n’avais pas forcément la formation adéquate. J’ai fait au mieux au début, avec l’aide de mon amie Sharon qui était elle-même professeur depuis plusieurs années, et celle de ma mère qui était une ancienne professeur de français et avait donc un certain sens de la pédagogie. Je prenais aussi des cours particuliers avec une professeur de danse qui me conseillait sur la manière d’enseigner, notamment aux enfants. Avec les années et l’expérience, j’ai modifié ma pédagogie et mieux défini les exigences d’un enseignement de qualité. C’est d’ailleurs pour cela que, l’année dernière, j’ai été à l’initiative de la création d’une formation professionnalisante intitulée «Enseigner la danse orientale : théorie, culture, méthodes et pédagogie ».

C’est une formation théorique et pratique de 39h30, axée sur la transmission et non sur la danse elle-même ; d’ailleurs, le niveau technique en danse n’est pas pris en compte. Dans cette formation, on étudie l’histoire de la danse orientale, ses artistes majeurs, les bases de l’anatomie du corps humain, les bonnes méthodes d’échauffements et d’étirements, les bases de la rythmique, la compréhension des publics, la législation, les méthodes d’enseignement, etc. C’est une formation très riche, avec des exercices pratiques et des mises en situation pédagogiques, qui aborde tous les sujets que j’aurais moi-même rêvé d’approfondir à l’époque ou j’ai commencé à enseigner. Cette formation n’est pas dispensée par un seul professeur « touche-à-tout », mais par toute une équipe de formateurs spécialisés chacun dans leur domaine.

Il n’existe pas de diplôme d’État en France pour la danse orientale : les personnes qui veulent enseigner n’ont donc pas de formation spécifique, les écoles et les élèves n’ont pas de repères. Avec cette formation, on veut donner aux (futurs) professeurs les bases nécessaires et quelques clés pour un enseignement de qualité de notre art, mais ce n’est pour eux qu’un début : ils ressortent de cette semaine intensive avec des connaissances et des réponses, mais surtout avec la conscience qu’ils ont encore beaucoup à apprendre par eux-mêmes.

Y-a-t-il eu un déclic particulier qui t’a poussée à faire de la danse orientale ton métier ?

Je finissais un BTS en économie sociale et familiale, et j’avais de plus en plus de demandes de prestations de danse en événementiel. J’étais de moins en moins concentrée sur mes études et je m’épanouissais tellement en dansant que ça a très vite pris le dessus. Je ne pense pas qu’il y ait eu un déclic particulier, la passion a été grandissante et dévorante, et mes parents m’ont finalement proposé un deal : ils me laissaient tenter ma chance pendant 1 an ; moi je devais leur prouver qu’il était possible de gagner décemment sa vie rien qu’avec la danse, et je devais consacrer la totalité de mes gains à ma propre formation. J’ai donc pris des dizaines et des dizaines de stages, tous les week-ends, avec des professeurs très différents, sur des thèmes et dans des styles très différents. J’ai testé de grands professeurs étrangers, mais aussi des professeurs locaux moins connus ; j’ai découvert les styles égyptiens modernes, mais aussi les folklores, le tribal fusion, les accessoires modernes, etc. J’ai vraiment touché à tout, et j’ai ainsi développé mon propre style. Aujourd’hui j’enseigne principalement le style égyptien moderne, mais j’ajoute parfois des techniques d’improvisation du tribal ou des pas de base du folklore…

Y-a-t-il une danseuse que tu admires particulièrement ?

Il y en a plusieurs. J’aime les danseuses qui ont une super technique, mais avant tout qui savent transmettre des émotions à leur public. Je suis particulièrement admirative de Dina et de Randa Kamel, deux danseuses égyptiennes capables de me faire pleurer quand elles sont sur scène. J’admire aussi leur parcours, dans un pays où la danse orientale n’est pas très bien vue.

Ton entourage t’a-t-il soutenu dans ton choix de carrière ?

Ma mère m’a toujours soutenue et conseillée. C’est elle qui m’a poussée à m’investir aussi dans l’enseignement plutôt que de me limiter au spectacle. La précarité de la vie d’artiste l’inquiétait, elle aurait évidemment préféré que j’aie une vie plus « normale » ; l’enseignement de la danse me permet de concilier les deux aspects et d’envisager l’avenir plus sereinement. Ma mère m’a toujours dit qu’elle préférerait que je sois une bonne infirmière plutôt qu’un mauvais médecin : ce qui compte, ce n’est pas le titre ou le prestige, mais c’est de bien faire ce qu’on entreprend et de pouvoir en être fier. Donc quand j’ai choisi de vivre de la danse orientale, elle m’a vraiment encouragée à me former, à me perfectionner, à me dépasser sans cesse. Elle me soutient à 100% aujourd’hui, elle m’aide dans mon travail, et c’est grâce à elle que j’avance. Car en plus du soutien énorme qu’elle m’apporte, elle sait aussi être objective et me dire quand elle pense que j’aurais pu faire mieux. Cela m’aide beaucoup pour progresser et pour ne pas me « prendre la grosse tête » !

En ce qui concerne le reste de ma famille, plus particulièrement mes grands-parents originaires d’Afrique du Nord, l’annonce de mon choix professionnel a été assez mal vécue : pour eux, les danseuses orientales, c’était soit les prostituées comme ils en avaient vu au Maghreb, soit ces danseuses en quête de billets qui s’asseyaient sur les genoux des hommes dans les mariages orientaux en France. Cela a été dur de les convaincre que la danse orientale est un art véritable et respectable. Après m’avoir vue en spectacle sur scène, ils ont compris et accepté, et maintenant ils m’encouragent, même s’il est évident qu’ils auraient préféré que je choisisse autre chose !

Aujourd’hui, à quelle fréquence t’entraînes-tu ?

Mes journées sont consacrées à la danse orientale, qu’il s’agisse de la préparation de mes cours, de mes stages, de mes chorégraphies de scène, des chorégraphies de mes élèves, du travail sur mes différents projets… Je continue à me former en stages, mais surtout en cours particuliers sous forme de coaching. Je pars régulièrement à l’étranger prendre des cours privés pour travailler mes faiblesses.

Quelle a été ta plus belle rencontre artistique ?

J’ai fait deux rencontres majeures qui ont changé ma danse. La première, ça a été Mayodi, professeur et danseur à Paris. J’ai pris un cours particulier avec lui il y a plusieurs années pour lui demander conseil sur une chorégraphie que je venais de créer. J’ai dansé devant lui, puis il m’a dit : « Assieds-toi, je vais danser sur la même musique et tu vas me dire ce que tu en penses. » Il a dansé et j’en ai eu les larmes aux yeux. Peu de mouvements, de la simplicité, mais tellement d’émotion, de « roh » (« âme » en arabe) comme il dit. Ce jour-là, il m’a fait comprendre que les combinaisons de pas complexes n’ont pas d’intérêt si elles ne laissent pas de place à l’interprétation. Cela a modifié ma façon de danser, car j’ai enfin pris le temps de vivre la musique au lieu d’essayer d’y caser des prouesses techniques.

Ma deuxième rencontre artistique majeure a été Amar Chaoui, percussionniste à Paris. En travaillant avec lui, j’ai mieux compris la musique et ses règles, j’ai appris à mieux l’écouter. Il m’a appris le langage, les nuances, l’expressivité des différents instruments. Cela a beaucoup modifié mon écoute musicale et donc forcément les subtilités de ma danse.

As-tu des regrets concernant ton parcours ?

Aucun regret ! Mes rêves et projets se réalisent petit à petit. La seule chose qui me pose problème, c’est que les journées ne font que 24 heures ! Je travaille 7 jours sur 7 et malgré tout je suis toujours débordée !

As-tu un conseil à donner aux danseuses qui souhaiteraient se lancer professionnellement dans la DO ?

Formez-vous ! Je croise souvent des professeurs qui sont autodidactes ou qui n’ont pris qu’un ou deux ans de cours de danse avant de se lancer dans l’enseignement pour gagner rapidement de l’argent. Elles ne se rendent pas compte à quel point leur ignorance de la culture de la danse orientale, leur niveau de danse insuffisant et leur enseignement médiocre font du tort à notre discipline. Il y a aujourd’hui en France de nombreux professeurs de qualité : il n’y a donc aucune excuse pour bâcler sa formation.

Quels sont tes projets en cours ou à venir ?

Je travaille en ce moment avec le percussionniste Amar Chaoui sur un livret-CD qui présentera les fondamentaux des rythmes pour la danse orientale égyptienne. C’est également un outil dont j’aurais aimé pouvoir disposer il y a quelques années, en tant qu’élève et en tant que professeur (sortie prévue en mai/juin 2013)

 

Merci à Yaël pour ses réponses franches et sincères !


 

30 avril 2013

J'ai interviewé pour vous.... Fatima Chekkor

Heu... comment vous dire.... Quand j'ai vu sur ma boîte mail "Vous avez un message de Fatima Chekkor".... j'ai fait la danse de l'épaule pendant 10 minutes !! ;) Je suis infiniment honorée qu'elle ait accepté de participer à cette rubrique. C'est quand même une des pionnières de la DO en France ! Allez... savourez chaque ligne...

Fatima Chekkor

 

Depuis combien d’années pratiques-tu la danse orientale ?
Depuis une trentaine d'années.

 

Comment as-tu connu la DO ?
Cela fait partie de ma culture d'origine, je cherchais à la découvrir de l'intérieur

 

Au bout de combien d’années d’expérience as-tu commencé à enseigner ?
J'ai été la troisième personne à enseigner cette Danse après Leila Haddad et Zaza Hassan. Nous étions tous les trois à participer à la création de l'enseignement en France.

 

Y-a-t-il eu un déclic particulier qui t’a poussé à faire de la danse orientale ton métier ?
Oui le déclic c'était ma volonté de faire développer cette danse comme un art à part entière, et non comme un objet de plaisir.

 

Y-a-t-il une danseuse que tu admires particulièrement ?
Je n'en ai aucune en particulier, j'observe simplement si elles respectent les règles de cette danse qui est codifiée comme les autres reconnues.

 

Ton entourage t’a-t-il soutenu dans ton choix de carrière ?
Aucun soutien, c'était une désapprobation totale.

 

Aujourd’hui à quelle fréquence t’entraines-tu ?
Maintenant je prépare mes cours, et mes chorégraphies, je fais des recherches pour donner de l'originalité et de la technique à mes élèves à travers ma méthode dîte "Chekkorienne" :D , je vous propose de venir découvrir mes cours... 

 

Quelle a été ta plus belle rencontre artistique ?
Ma plus belle rencontre c'est de mon prof Georges qui m'a formé à la méthode américaine comme on dit à la dure :D

 

As-tu des regrets quant à ton parcours ?
Aucun sauf d'avoir transmis des secrets à des personnes qui ont en fait un mauvais usage.

 

As-tu un conseil à donner aux personnes qui souhaiteraient se lancer professionnellement dans la DO ?
Le conseil à donner c'est de travailler dur, ne pas croire qu'en quelques leçons on est apte à danser ou à enseigner. Il est important de constater qu'on fait appel aux danseuses que pour de l'animation et jamais pour un vrai spectacle.

 

Quels sont tes projets en cours ou à venir ?
Continuer à me battre pour faire reconnaître le travail de fond nécessaire pour élever cette danse au niveau d'un Art, et en conséquence transmettre à la nouvelle génération qui me parait plus respectueuses les techniques de base.

 

Encore une fois un grand merci à elle pour m'avoir accordé du temps ! Pour plus d'info sur ses stages, ses cours et sa méthode "Chekkorienne" ;) rendez-vous ici !


 

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29 avril 2013

Reflets d'Or et d'Orient, 4e édition le 24 mai 2013 à Vaulx-en-Velin (69)

Réservez dès à présent votre vendredi 24 mai 2013 !!!
Dès 20h30, la Compagnie Ode Izis vous présente la 4e édition de son spectacle de danses orientales et de fusions.
 

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Cette année, vous pourrez voir sur scène la très talentueuse Feriel Rodriguez (Nantes), Shanna (Montpellier), Delphine (Besançon) et la Cie Shawatza (Lyon).
 
Le spectacle aura lieu à la salle Jara, rue Jean Lesire, 69120 Vaulx-en-Velin.
Tarif : 12 euros en prévente, 15 euros sur place
 
 
Réservation Cie Ode Izis
Tél 06 61 79 39 16


 
 
23 avril 2013

J'ai interviewé pour vous.... Semsemah

Quelle chance... Cette semaine c'est Semsemah qui me fait l'honneur de répondre à mon interview !

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Depuis combien d’années pratiques-tu la danse orientale ?
12 ans

Comment as-tu connu la DO ?
Depuis toute jeune, je connaissais la danse orientale par le biais de films et au lycée, on a monté un groupe de danseuses orientales entre amies, on dansait sur scène lors des fêtes de la ville...Puis arrivée à Paris, j'ai pris des cours avec Nora qui m'a fait danser au bout d'un mois à peine dans les restaurants et soirées privées...Puis j'ai continué à apprendre avec Mayodi, Leila Hassan et Sana à Paris

Au bout de combien d’années d’expérience as-tu commencé à enseigner ?
5 ans environ, j'ai commencé par les clubs de sports, les écoles de danse, universités puis j'ai ouvert mes propres cours sur Paris en mon nom.

Y-a-t-il eu un déclic particulier qui t’a poussé à faire de la danse orientale ton métier ?
J'ai toujours rêvé d'être danseuse, petite je dansais tout le temps...Pas seulement oriental mais algérien, hip hop, j'ai pratiqué pendant de longues années la danse africaine au lycée...Je me languissais devant les clips de Mylene Farmer, Fame, Tap Dance etc....

Y-a-t-il une danseuse que tu admires particulièrement ?
Dina et Saaria de Paris, ma muse. J'aime évidemment beaucoup d'autres comme Camelia du Caire, Randa Kamel et toutes les légendes des oldies.

Ton entourage t’a-t-il soutenu dans ton choix de carrière ?
Oui et non. Par exemple mon fiancé de l'époque a accepté au début puis en a eu assez de la place que la DO prenait dans ma vie. Et il m'a demandé de choisir... La moitié de ma famille admire la DO et aime mais une autre ne la connait pas et ne veut pas la connaitre car pour les orientaux, l'art n'est pas un métier. Sinon, je reçois beaucoup de soutient de mes amis eux-même danseurs.

Aujourd’hui à quelle fréquence t’entraines-tu ?
Tous les jours. Je me forme à travers des stages en France et à l'étranger, notamment ceux de Yousry Sharif, mon maitre absolu.

Quelle a été ta plus belle rencontre artistique ?
Yousry Sharif qui m'a permis de trouver mon propre style, de m'amuser, de danser, d'écouter la musique autrement...

As-tu des regrets quant à ton parcours ?
Non aucun. J'aime mon métier, la danse orientale et tout ce qu'elle m'apporte dans la vie de tous les jours.

As-tu un conseil à donner aux personnes qui souhaiteraient se lancer professionnellement dans la DO ?
Oui, travail travail travail et surtout rester ouverte d'esprit et regarder les autres avec le coeur.

Quels sont tes projets en cours ou à venir ?
Le festival Eshtah ya Eshta en collaboration avec Taly.

Merci Semsemah pour nous aider à te connaître un peu mieux ! Pour plus d'infos : www.eshtah-ya-eshta.com


 

16 avril 2013

J'ai interviewé pour vous... Hayal Valquiria

Cette semaine, la rubrique interview a un petit goût d'exotisme... En effet, j'ai eu la chance d'interviewé la très belle lyonnaise Hayal Valquiria ! Je vous laisse décourvir son parcours, ses projets... Un régal !

 

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Depuis combien d’années pratiques-tu la danse orientale ? 

 
Je pratique la danse orientale depuis 16 ans

 
Comment as-tu connu la DO ? 
 
J'ai une copine qui a commencé à faire la danse orientale et un jour je suis allé faire les cours avec elle et je n'ai plus jamais arrêté

 
Au bout de combien d’années d’expérience as-tu commencé à enseigner ?  
 
J'ai commencé à enseigner après 5 ans de danse, mais il est important de préciser que j'ai eu 5 ans de dévouement, des classes régulières avec une de meilleures danseuses dans le sud du Brésil et j'étais aussi danseuse dans une companie de danse orientale
 
 
Y-a-t-il eu un déclic particulier qui t’a poussé à faire de la danse orientale ton métier ? 

Je pense que c'était quand j'ai terminé la fac d'Education Physique et que j'ai commencé à donner de cours de fitness ; à ce moment j'ai réalisé que je me sentais plus heureuse en pratiquant la danse orientale qu'en donnant des cours de fitness
 
 
Y-a-t-il une danseuse que tu admires particulièrement ? 
 
Oui il y en a quelques unes que j'adore, comme Jillina, Saida, Randa Kamel et les brésilienne Ju Marconato et Kahina.
 

Ton entourage t’a-t-il soutenu dans ton choix de carrière ?
 
Oui
 

Aujourd’hui à quelle fréquence t’entraines-tu ?
 
Je m'entraine au moins 20 heures par semaine, et en plus je fais des stages 1 ou 2 week-end par mois. Je voyage beaucoup pour faire de stages et participer à des festivals de danse orientale.

 
Quelle a été ta plus belle rencontre artistique ? 
 
Ça a été avec Jillina, quand j'ai été choisie pour participer au Bellydance Evolution. J'ai eu le plaisir de la rencontrer et de travailler avec elle, une des plus belle expérience de ma vie.

 
As-tu des regrets quant à ton parcours ? 
 
Je regrette un peu de ne pas avoir prit au sérieux la danse dès le début, si j´avait fait les 20 heures d´entraînement tout de suite, je crois que je serais à un autre niveau aujourd´hui...
 

As-tu un conseil à donner aux personnes qui souhaiteraient se lancer professionnellement dans la DO ?  
 
La première chose c'est de s'assurer que vous aimez bien la danse, parce que c'est un métier exigeant. La deuxième chose c'est de savoir que ça demande des heures et des heures  d'entrainement, beaucoup de patience et de motivation. Il faut aussi un peu d'investissement financier, on dépense beaucoup d´argent pour les formation et pour les costumes. Et enfin on travaille jour et nuit, le week end et les jours fériés. Cependant, si c'est ce que vous aimez, allez-y, n'ayez pas peur !
 

Quels sont tes projets en cours ou à venir ? 
 
J'ai plusieurs projets, le premier est d´organiser un meeting de danse orientale, c'est un événement que j'organisais au Portugal et je voudrais continuer en France. Si tout va bien, je lance la publicité le mois prochain. Et pour l'avenir, je voudrais travailler à nouveau avec Jillina et participer encore une fois dans son spectacle Bellydance Evolution. Et mon projet "à long terme/rêve" est d'amener ce spectacle en France...

 

Je vous tiendrai au courant bien entendu des actualités lyonnaises d'Hayal. Pour tout le reste, allez jeter un oeil sur son site !


 

 

 

 


 

 

12 avril 2013

Stages avec Feriel Rodriguez le 25 mai 2013 à Vaulx-en-Velin (69)

Dans le cadre de la 4ème édition de REFLETS D'OR ET D'ORIENT

CIE ODE IZIS vous propose 2 stages de danse Orientale avec la sublime danseuse et chorégraphe FERIEL RODRIGUEZ

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Samedi 25 mai 2013

10h à 13h STYLE SHAABI
Niveau moyen/intermédiaire

14h à 17h STYLE TANGO ORIENTAL
Niveau avancé


tarif *: 
40 euros le stage de 3 heures
65 euros les deux stages - 6 heures


Lieu :

centre culturel Jean et Joséphine Peyri - Rue Joseph Blein 69120 VAULX EN VELIN (près de Carré de Soie)

Inscription : demande de bulletin d'inscription par mail odeizis@gmail.com



* Tarifs valable jusqu'au 17 mai 2013 - 5 euros supplémentaire par inscription pour toute inscription effectuée après cette date. Adhésion CIE ODE IZIS : 3 euros
POSSIBILITE DE REGLEMENT EN DEUX FOIS


 

10 avril 2013

Stage "Percussions" animé par Alexandrah le 25 mai 2013 à Vaulx-en-Velin (69)

Alexandrah animera un stage sur le thème des percussions le samedi 25 mai 2013 de 10h à 12h.

 

Tarif : 20 €

Niveau : Intermédiaires / Avancées

Pour plus de renseignements, consultez le blog de Sailyne ou le site d'Alexandrah.


 

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